Un jalon important dans l’expression du « second théorème de la moyenne » en analyse, dont la démonstration rigoureuse se fit par étapes successives, d’Abel à Hobson en passant par Mansion et Kronecker.
Dans ce texte fondateur, Fourier pose, à partir d’une solution particulière de l’équation de la chaleur, les fondements de la « transformée de Fourier » d’une fonction, c’est-à-dire sa représentation par une série de fonctions trigonométriques. Ce concept aura de nombreuses applications en physique mathématique (acoustique, traitement du signal, thermodynamique) et en informatique (traitement d’images, ondelettes).
Dans ses cours à l’École polytechnique, Cauchy donne une définition de l’intégrale comme limite des sommes (dites de Cauchy) de calcul d’aire sous la courbe, calcule les intégrales d’un certain nombre de fonctions, et donne diverses propriétés algébriques des intégrales telles qu’il les a définies.
Ce document nous permet de comprendre comment au XVII° siècle, bien avant la notion de fonction, de dérivée, de calcul infinitésimal ou différentiel, on pouvait appréhender les notions de « minimum et de maximum ».
Ce texte est la réponse de Leibniz au défi lancé par Bernoulli de connaître la forme prise par un fil sous l’effet de son poids : la courbe de la chaînette est ainsi découverte grâce au calcul différentiel de Leibniz.
Ce texte, apportant des méthodes à la résolution de l’équation de Fourier de la chaleur (1807) et généralisant ce problème, est une étape importante de la résolution d’équations différentielles en physique mathématique (niveau de difficulté non standard BibNum )